Le Rassemblement national a fait voter sa résolution réclamant la fin de l'accord franco-algérien de 1968. Une victoire symbolique, mais politiquement cinglante, pour Marine Le Pen - et un revers pour l'exécutif, tandis que l'Élysée garde le silence.
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RESPONSABILITÉ. L'ancien secrétaire général du ministère de l'Immigration* estime que seule une décision d'Emmanuel Macron pourrait mettre fin à l'accord franco-algérien de 1968, qui accorde un statut privilégié aux ressortissants algériens.