Treize nouveaux grands noms du luxe comme Prada, Givenchy ou Dolce & Gabbana sont soupçonnés d'avoir fait appel en Italie à des sous-traitants qui exploitaient des ouvriers chinois, dans le cadre d'une enquête élargie de la justice italienne.
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Treize nouveaux grands noms du luxe dont Gucci, Versace ou Yves Saint Laurent sont soupçonnés d'avoir fait appel en Italie à des sous-traitants qui exploitaient des ouvriers chinois. En juillet, Loro Piana, propriété du géant du luxe LVMH, avait été placé sous « administration judiciaire ».
La justice italienne a mené plusieurs perquisitions dans des ateliers employant «de la main d'oeuvre chinoise dans de graves conditions d'exploitation».